Ces stérilets commercialisés depuis près de 20 ans sont des stérilets hormonaux, qui libèrent une hormone dans l’utérus.
De nombreuses femmes ont commencé à se plaindre d’effets secondaires, et l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a même publié un communiqué le 12 mai dernier, pour indiquer qu’elle avait relevé « une augmentation des déclarations d’effets indésirables susceptibles d’être liés ».
Parallèlement les utilisatrices mécontentes ont lancé une page Facebook, « Victimes du stérilet hormonal Mirena »; qu a connu un vrai succès et compte aujourd’hui plus de 13000 membres.
Ce succès a donné l’idée aux participantes de créer leur propre association dédié, « Stérilet Hormones Vigilance ».
De son côté, le Collège national des gynécologues et obstétriciens (CNOGF) conseille aux professionnels de rester « à l’écoute » des femmes concernées et de « rester vigilants ».